Passereaux divers
Le geai des chênes : Parmi les espèces d'oiseaux de plus forte corpulence, il est à noter la présence du Geai des chênes, dans nos jardins et dans les parcs des villes comprenant de grands arbres et des bosquets, lequel bien que principalement forestier a su s'imposer dans notre environnement proche.
La plupart du temps, on le remarque suite à son cri d'alarme rauque qui prévient la faune sauvage d'un danger éventuel car l'oiseau est assez farouche.
Lorsqu'il s'envole, son aspect massif, son croupion très blanc contrastant avec sa queue noire
permettent de le reconnaître à tout coup.
Posé, le Geai des chênes présente un joli plumage beige-rosé, un dessus de tête blanc rayé de noir,
une moustache noire et des couleurs vives au niveau des ailes qui sont bigarrées de bleu, de noir et de blanc.
Son chant qui n'est émis qu'en fin d'hiver reste est plutôt discret, il est composé d'un mélange étrange de gloussements et de craquements. Il a aussi la possibilité d'imiter la Buse et la Chouette hulotte. Ses cris sont variés et forts.
Le Geai des chênes fait son nid dans le creux d'une fourche d'arbre.
Il nourrit son unique nichée de 5 à 6 œufs, d'insectes, d'oisillons, de fruits et de graines.
Son habitude de cacher les glands, sa principale nourriture hivernale, le rend responsable de la dispersion de la pousse de chênes dans des endroits divers.
La plupart du temps, on le remarque suite à son cri d'alarme rauque qui prévient la faune sauvage d'un danger éventuel car l'oiseau est assez farouche.
Lorsqu'il s'envole, son aspect massif, son croupion très blanc contrastant avec sa queue noire
permettent de le reconnaître à tout coup.
Posé, le Geai des chênes présente un joli plumage beige-rosé, un dessus de tête blanc rayé de noir,
une moustache noire et des couleurs vives au niveau des ailes qui sont bigarrées de bleu, de noir et de blanc.
Son chant qui n'est émis qu'en fin d'hiver reste est plutôt discret, il est composé d'un mélange étrange de gloussements et de craquements. Il a aussi la possibilité d'imiter la Buse et la Chouette hulotte. Ses cris sont variés et forts.
Le Geai des chênes fait son nid dans le creux d'une fourche d'arbre.
Il nourrit son unique nichée de 5 à 6 œufs, d'insectes, d'oisillons, de fruits et de graines.
Son habitude de cacher les glands, sa principale nourriture hivernale, le rend responsable de la dispersion de la pousse de chênes dans des endroits divers.
Le merle noir : Le Merle noir mâle reste facile à reconnaître avec sa livrée profondément noire et sa taille
qui nous sert souvent de référence pour décrire un oiseau plus rare.
Son œil cerclé de jaune et son bec plus ou moins jaune sont autant d'indices faciles à retenir pour l'identifier sans difficulté. C'est un peu plus délicat pour la femelle et les jeunes qui affichent un bec jaune pâle à gris et un plumage brun assez terne aux taches peu visibles que l'on peut confondre avec celui de jeunes Grives musiciennes ou draines.
Le chant du mâle reste remarquable avec ses strophes puissantes, courtes et très variées, aux airs sifflés,
roulés, flûtés, entrecoupés d'arrêts réguliers.
Les cris d'alarme sont forts, saccadés et assez secs.
Le Merle noir, bien qu'initialement oiseau des bois, est particulièrement bien adapté aux jardins et aux parcs
dans les pelouses desquels il trouve une multitude de vers de terre qu'il repère et qu'il extirpe après quelques sautillements et arrêts d'écoutes caractéristiques lui permettant de les localiser précisément.
A partir de la fin de l'été, et jusqu'en hiver, il se nourrit aussi de baies diverses (aubépine, lierre, prunelles,...)
Le Merle noire aime nicher dans les haies de jardin, son nid est un beau chef d'oeuvre fait de brindilles,
de boue et tapissé de fines fibres en finition. La femelle n'hésite pas à construire un second nid pour y élever sa deuxième couvée.
Je ne peux que vous conseiller d'essayer de ne repérer le Merle noir que par le chant,
c'est un excellent exercice d'apprentissage à l'écoute des oiseaux.
Le matin, au sortir du lit, vous tendez votre oreille de votre fenêtre ouverte et vous vous dites :
" C'est joli ce chant que je reconnais, le printemps est bien là !..."
(Texte Jacques Pellerin)
qui nous sert souvent de référence pour décrire un oiseau plus rare.
Son œil cerclé de jaune et son bec plus ou moins jaune sont autant d'indices faciles à retenir pour l'identifier sans difficulté. C'est un peu plus délicat pour la femelle et les jeunes qui affichent un bec jaune pâle à gris et un plumage brun assez terne aux taches peu visibles que l'on peut confondre avec celui de jeunes Grives musiciennes ou draines.
Le chant du mâle reste remarquable avec ses strophes puissantes, courtes et très variées, aux airs sifflés,
roulés, flûtés, entrecoupés d'arrêts réguliers.
Les cris d'alarme sont forts, saccadés et assez secs.
Le Merle noir, bien qu'initialement oiseau des bois, est particulièrement bien adapté aux jardins et aux parcs
dans les pelouses desquels il trouve une multitude de vers de terre qu'il repère et qu'il extirpe après quelques sautillements et arrêts d'écoutes caractéristiques lui permettant de les localiser précisément.
A partir de la fin de l'été, et jusqu'en hiver, il se nourrit aussi de baies diverses (aubépine, lierre, prunelles,...)
Le Merle noire aime nicher dans les haies de jardin, son nid est un beau chef d'oeuvre fait de brindilles,
de boue et tapissé de fines fibres en finition. La femelle n'hésite pas à construire un second nid pour y élever sa deuxième couvée.
Je ne peux que vous conseiller d'essayer de ne repérer le Merle noir que par le chant,
c'est un excellent exercice d'apprentissage à l'écoute des oiseaux.
Le matin, au sortir du lit, vous tendez votre oreille de votre fenêtre ouverte et vous vous dites :
" C'est joli ce chant que je reconnais, le printemps est bien là !..."
(Texte Jacques Pellerin)
Le troglodyte mignon : S'il est un oiseau commun dans le bocage mais aussi à l'entour de nos jardins,
c'est bien le Troglodyte mignon qui ne manque pas de s'imposer par son chant en cette saison tout en exhibant son allure trapue, son bec fin, sa couleur marron et bien sûr sa petite queue dressée
qui lui donne un petit air de domination laquelle est empreinte de nervosité liée à son agitation saccadée.
Il aime bien nicher dans les trous des vieux murs, mais aussi sous de grosses racines formant des creux propices à sa protection.
Son chant très particulier se résume à une strophe sonore qui contient une trille caractéristique
qui vous permettra à tout coup de le reconnaître rapidement.
Il aime se nourrir d'insectes au sol et de leurs larves mais aussi d'araignées.
Petite anecdote : Le troglodyte des régions froides n'hésite pas à parcourir en automne et au printemps des centaines, voire des milliers de kilomètres.
Celui qui vit chez nous est pour la plupart du temps sédentaire.
(Texte Jacques Pellerin)
c'est bien le Troglodyte mignon qui ne manque pas de s'imposer par son chant en cette saison tout en exhibant son allure trapue, son bec fin, sa couleur marron et bien sûr sa petite queue dressée
qui lui donne un petit air de domination laquelle est empreinte de nervosité liée à son agitation saccadée.
Il aime bien nicher dans les trous des vieux murs, mais aussi sous de grosses racines formant des creux propices à sa protection.
Son chant très particulier se résume à une strophe sonore qui contient une trille caractéristique
qui vous permettra à tout coup de le reconnaître rapidement.
Il aime se nourrir d'insectes au sol et de leurs larves mais aussi d'araignées.
Petite anecdote : Le troglodyte des régions froides n'hésite pas à parcourir en automne et au printemps des centaines, voire des milliers de kilomètres.
Celui qui vit chez nous est pour la plupart du temps sédentaire.
(Texte Jacques Pellerin)
Le pouillot véloce : Parmi les très petits oiseaux actifs et en éternelle agitation pour trouver leur nourriture jusque dans le haut des arbres et dans les bosquets de nos jardins, il faut penser à identifier le Pouillot véloce.
Son apparence est insignifiante du fait de son plumage gris-verdâtre pâle de tous les côtés,
néanmoins plus clair sur le dessous que sur le dessus. Il est important de noter que ses pattes sont noires
(contrairement au Pouillot fitis qui a les pattes brun -clair et un sourcil claire marqué).
Il est impossible de différencier le mâle de la femelle.
Il n'est pas avare de son chant aigu " Huyit - huyit - huyit- ..." que l'on perçoit facilement et qui nous permet de le reconnaître assez facilement.
En effet, toute la journée le mâle émet un chant monosyllabique assez monotone extrêmement repérable.
Le cri d'alarme est un "hui" doux, le cri d'appel un "vieht" aigu.
Cet oiseau est très répandu en France, il aime fréquenter toutes sortes d'arbres, ainsi que les sous bois et les haies fournies.
Le Pouillot véloce hiverne dans le midi de la France et il revient en nombre chez nous dés avril pour y
nicher. Son nid est caractéristique, il est de forme hémisphérique avec une entrée latérale dans une végétation assez proche du sol.
Sa nourriture varie selon les saisons, elle est composée de petits insectes, de baies ainsi que de nectar et de pollen au printemps.
Vous devriez pouvoir l'identifier assez facilement notamment du fait de son chant qui attire l'attention.Il est quasiment presque toujours isolé, mais en nombre significatif un peu partout dans le végétation.
(Texte Jacques Pellerin)
Le verdier d'Europe : le Verdier d'Europe est très présent dans nos jardins tout au long de l'année
et assez facile à reconnaître.
De la grosseur d'un Moineau domestique, il présente un bec conique assez fort de granivore.
Le mâle est de couleur vert olive et grisâtre dans son ensemble avec une raie jaune au niveau des ailes lorsqu'il est posé correspondant aux plumes des ailes et il présente également les plumes externes de la queue de couleur jaune. La femelle est identique mais de couleurs plus ternes.
Le chant du mâle est facile à repérer et à reconnaître, bien qu'assez varié.
Il est puissant et c'est souvent son "djjjiiiiiiiiiiiiiii" vibrant répétitif, entrecoupé de courtes pauses qui est le plus remarqué au printemps. Ses cris de contacts sont souvent de brefs trilles que je vous invite à découvrir dans la bande son.
Cet oiseau est présent un peu partout ,il niche dans des milieux ouverts parsemés d'arbres à la végétation courte et clairsemée.
Il se nourrit de graines et de fruits ,mais il préférera les pucerons pour nourrir ses nichées.
(Texte Jacques Pellerin)
Le chardonneret élégant : c'est un des oiseaux les plus faciles à reconnaître de visu, mais plus difficile à reconnaître par son chant confus, rapide, caractérisé par un gazouillis vif et un son sifflé malgré tout typique.
Est-il besoin de décrire son magnifique plumage pour l'identifier . Sa face rouge, ses ailes beiges et noires,
ponctuées de points blancs et barrées de jaune. De plus son collier blanc et sa nuque noire pourraient nous faire penser à un oiseau exotique.
Malheureusement pour lui, il est considéré comme un oiseau porte-bonheur au Maroc ce qui lui vaut d'être certes admiré mais surtout capturé , mis en cage , puis vendu aux particuliers chez qui il sera destiné à y mourir dans la solitude et sans succession !...
(Texte Jacques Pellerin)
L'Hypolaïs polyglotte : est un oiseau d'une douzaine de cm qui présente un dos de couleur gris verdâtre à nuance brune et un dessous jaune pâle sur fond chamois brun.
L'aspect du Mâle est identique à celui de la femelle. Son bec est relativement long et assez puissant.
Son chant est fort, il est fait de strophes prolongées, aux sons aigus, rapides, parfois précipitées avec des fragments d'imitation d'autres espèces de passereaux.
C'est un passereau à la fois discret de part son plumage, et à la fois très peu discret de part son chant bruyant, aigu et prolongé.
Ses cris de contact sont de brefs cliquetis secs se rapprochant pour certains des piaillements de Moineaux.
Sa nourriture est surtout faite d'insectes.
La femelle pond dans son nid fait d'herbe, de toiles d'araignées et de crins de 3 à 5 œufs.
Deux couvaisons successives sont possibles au printemps, l'envol des jeunes a lieu une douzaine de jours après leur éclosion.
Sans être, un véritable oiseau des jardins , l'Hypolaïs polyglotte y est présent dans les haies
et les lisières des bois proches de nos habitations;
(Texte Jacques Pellerin)
Le Tarier pâtre est un petit passereau (13 cm) insectivore qui vit dans de nombreux milieux, cultivés ou non, jusqu’à 2000 m d’altitude. De nombreux Tariers pâtres sont sédentaires grâce à un climat doux et vivent en couple toute l'année, défendant ensemble leur territoire.
Lors de la parade nuptiale, le mâle lance son chant bref et monotone, depuis un perchoir élevé. Il effectue un bref vol nuptial jusqu'à une vingtaine de mètres de hauteur tout en donnant de la voix. Il peut également aborder une femelle en effectuant un vol sur place au-dessus d'elle en chantant ou l'approcher à terre en paradant.
La femelle bâtit son nid au sol, un petit tunnel dans la végétation en permettant souvent l'accès. Cinq ou six jeunes seront nourris par les deux parents, puis la femelle ira construire un nid pour une seconde nichée pendant que le le mâle continuera de s’occuper de la première nichée.
Le Tarier des prés se distingue du Tarier pâtre par son sourcil blanc quelques marques blanches à la queue et sur les ailes. Le Tarier des prés est un oiseau migrateur qui vit dans les prairies et utilise les hautes herbes et piquets comme postes de chants. On peut l’observer en mai et septembre lors des migrations.
Durant la parade nuptiale, le mâle chante devant la femelle, les ailes pendantes, la queue étalée et légèrement relevée, la tête rejetée en arrière. Le nid est fait au sol dans une touffe d’herbe. Pendant que la femelle couve, le mâle monte la garde tout près. Cependant la fauche des prés de plus en plus précoce met en danger cette espèce qui se raréfie dans certaines régions.
Lors de la parade nuptiale, le mâle lance son chant bref et monotone, depuis un perchoir élevé. Il effectue un bref vol nuptial jusqu'à une vingtaine de mètres de hauteur tout en donnant de la voix. Il peut également aborder une femelle en effectuant un vol sur place au-dessus d'elle en chantant ou l'approcher à terre en paradant.
La femelle bâtit son nid au sol, un petit tunnel dans la végétation en permettant souvent l'accès. Cinq ou six jeunes seront nourris par les deux parents, puis la femelle ira construire un nid pour une seconde nichée pendant que le le mâle continuera de s’occuper de la première nichée.
Le Tarier des prés se distingue du Tarier pâtre par son sourcil blanc quelques marques blanches à la queue et sur les ailes. Le Tarier des prés est un oiseau migrateur qui vit dans les prairies et utilise les hautes herbes et piquets comme postes de chants. On peut l’observer en mai et septembre lors des migrations.
Durant la parade nuptiale, le mâle chante devant la femelle, les ailes pendantes, la queue étalée et légèrement relevée, la tête rejetée en arrière. Le nid est fait au sol dans une touffe d’herbe. Pendant que la femelle couve, le mâle monte la garde tout près. Cependant la fauche des prés de plus en plus précoce met en danger cette espèce qui se raréfie dans certaines régions.